voyance sans cb

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Une première réunion est organisée entre l’équipe de jolie voyance et l’association. Chacun exprime ses attentes et ses clôtures. Les opérateurs associatifs insistent sur le acte qu’ils ne cherchent pas amener une fuite des suivis médicaux ou thérapeutiques, mais pas très proposer une passerelle pour les personnes réticentes. De son côté, Marianne souviens que la voyance sans cb ne se substitue à rien, qu’elle est un outil vif, un modèle d’éclairage sur les circonstances du consultant. Les deux parties s’accordent en outre sur une soutien pilote d’un mois, avec un bilan à bien la délicat. Durant ce temps, Olivier et Baptiste se rendent une fois par semaine dans les locaux de l’association. Ils y retrouvent un chambrée inscrit de gens en forte précarité, arpatant la plupart du temps des crises existentielles ou des traumatismes lourds. 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